Ce soir, j’ai passé la soirée au nouveau Théâtre Telus sur la rue St-Denis où j’ai participé à un ipod battle…
Le concept est très simple, deux équipes s’affrontent sur un « ring » avec une foule autour de nous. Et c’est la foule, en applaudissant qui détermine les gagnants. Le combat est sur 4 chansons à tour de rôle par équipe.
Tout est calqué sur le modèle de la boxe, arbitre, entrée flamboyante, ring etc…
Je formais un duo avec mon ami Sébastien Benoît et avec nos 2 ipod, on totalisait près de 5,000 chansons, mais coup de théâtre nous avons perdu en première ronde, tout comme le duo Benoît Roberge et Jean-Michel Dufaux, dans une chaude lutte contre une équipe toute féminine de jeunes entrepreneures boursières de la fondation du maire de Montréal…
Ceci dit, nous avons eu énormément de plaisir!
Malgré le fait que la veille nous avions célébré (pas mal fort) coup sur coup la fin de l’enregistrement de l’album dans une soirée avec toute l’équipe (merci Pierre-Luc pour le champagne) et le 4ième anniversaire du Radio Lounge, club de mon grand chum Denis Fortin.
Le concept est très simple, deux équipes s’affrontent sur un « ring » avec une foule autour de nous. Et c’est la foule, en applaudissant qui détermine les gagnants. Le combat est sur 4 chansons à tour de rôle par équipe.
Tout est calqué sur le modèle de la boxe, arbitre, entrée flamboyante, ring etc…
Je formais un duo avec mon ami Sébastien Benoît et avec nos 2 ipod, on totalisait près de 5,000 chansons, mais coup de théâtre nous avons perdu en première ronde, tout comme le duo Benoît Roberge et Jean-Michel Dufaux, dans une chaude lutte contre une équipe toute féminine de jeunes entrepreneures boursières de la fondation du maire de Montréal…
Ceci dit, nous avons eu énormément de plaisir!
Malgré le fait que la veille nous avions célébré (pas mal fort) coup sur coup la fin de l’enregistrement de l’album dans une soirée avec toute l’équipe (merci Pierre-Luc pour le champagne) et le 4ième anniversaire du Radio Lounge, club de mon grand chum Denis Fortin.
A+
1 commentaire:
Quand mon fils avait 14 ans pis en pleine révolte, on arrivait pas à se parler fa que on a fonctionné sur le mode battle écrit. Y avait pas de foule qui nous applaudissait fa que je sais pas qui a gagné. Les deux j'imagine puisque maintenant on se parle sans avoir à s'écrire. Je peux dire par contre que je trouvais son écriture solide et que lui, même si il me trouvait poche dans battle, considérait que j'avais certaines trouvailles...En tous cas, les battles comme ça, ça fait monter le taux d'adrénaline Ciao
Chantal
Chantal
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